31 décembre 2009
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Ni neuf, ni vieux, l'an pour moi commence au printemps, quand les premiers bougeons gonflent, gonflent et un beau jour, on ne sait pas trop pourquoi, tout à coup, éclatent en un feu d'artifice de couleurs, de senteurs, de mutations miraculeuses et splendides.
Mais comme c'est la coutume en Occident de fêter l'an neuf fin décembre, quand les jours augmentent, je me mets à l'unisson et je vous souhaite de splendides dernières minutes de 2009, pleines de joies diverses, aussi différentes que vous, mes amis, êtes diversifiés dans vos goûts, les disciplines que vous pratiquez, celles que vous aimez partager avec moi par vos blogs et vos commentaires, diversifiés par vos états civils ou vos origines.
Vivez chaque minute, sans regret, sans remords, avec intensité, en accord avec vous-mêmes, votre entourage, mais avec plein de projets pour demain.
En cette fin d'année, j'ai une pensée particulière pour tous ces enfants dont les parents sont gravement malades. Ces enfants qui ne peuvent toucher du doigt la détresse que leurs mères, leurs pères malades ont de les abandonner et de les empêcher - bien malgrè eux- de vivre une vraie vie d'enfant.
Mais comme c'est la coutume en Occident de fêter l'an neuf fin décembre, quand les jours augmentent, je me mets à l'unisson et je vous souhaite de splendides dernières minutes de 2009, pleines de joies diverses, aussi différentes que vous, mes amis, êtes diversifiés dans vos goûts, les disciplines que vous pratiquez, celles que vous aimez partager avec moi par vos blogs et vos commentaires, diversifiés par vos états civils ou vos origines.
Vivez chaque minute, sans regret, sans remords, avec intensité, en accord avec vous-mêmes, votre entourage, mais avec plein de projets pour demain.
Joyeuse saint Sylvestre dans l'écoute et le partage!
En cette fin d'année, j'ai une pensée particulière pour tous ces enfants dont les parents sont gravement malades. Ces enfants qui ne peuvent toucher du doigt la détresse que leurs mères, leurs pères malades ont de les abandonner et de les empêcher - bien malgrè eux- de vivre une vraie vie d'enfant.